Trois absents aujourd'hui, pensée
douces à l'un d'entre eux qui vit un deuil familial, mais ce n'est
pas pour cette raison que notre metteur en scène commence la séances
par des soupirs. C'est pour travailler sur le relâchement
musculaire, et entamer un travail sur le souffle profond. Travail qui
se continu avec la fabrication d'un tapis sonore.
Les étirements corporels
incontournables, aident les actrices et acteurs à trouver »la
position »assise que nous appelons la position « Zéro »
qui permet un travail sur la présence et sur la disponibilité du
corps à une prompte réaction, en fonction des exercices demandés.
Le travail sonore fait explorer aux
acteurs, la tenue d'un son autant dans sa puissance que dans sa
durée. Puis un ajout d'une musique de fond aident le groupe à
s’harmoniser, et pour une première c'est une jolie réussite.
Découverte du son bouche fermée,
faire vibrer dedans avant de laisser s'échapper le son produit pour
qu'il vienne envahir l'espace.
Nous reprenons le jeu de regard, qui
invite l'autre à se lever pour aller inviter du regard quelqu'un
d'autre à faire de même.
Le jeu du fil tendu entre deux
personnes, et qui doit le rester est complété en y rajoutant la
consigne de danser en essayant de suivre le rythme musical proposé.
Notre plateau se divise ensuite en
carré grâce au « papier collant magique » et nous
recréons un tableau à double entrée ou colonne et lignes
s'entrecroisent pour donner la position d'un objet à déplacer. Cela
se complique quand trois ou 4 acteurs travaillent en même temps et ne doivent écouter que les demandes (sous style d'ordre) de
l'animateur attitré. Tout le monde se prend au jeu, et l'ambiance
devient électrique. Mais c'est ce que recherche notre metteur en
scène.
Bravo à tous et à vendredi prochain.
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